Les hommes souffrent souvent de maux qui n’avantagent pas leur vie sexuelle. Le retard de l’éjaculation est un problème qui plonge bon nombre d’hommes dans d’interminables soucis. Ce mal est appelé anéjaculation. Cette anomalie est liée à certaines choses qui la provoquent. Une étude approfondie permet de bien la comprendre.
Les causes d’une éjaculation retardée
L’éjaculation retardée peut être classée dans deux catégories : primaire et secondaire. Mais le second cas est souvent présent chez les sujets. Les causes d’éjaculation retardée sont très nombreuses et ne peuvent vraiment pas être quantifiées sur tous les plans dans toute leur totalité. Il y a d’abord les causes psychogènes. Elles se manifestent couramment à travers la fluctuation d’humeur, la dépression. L’anxiété liée à la grossesse, c’est-à-dire mettre sa femme enceinte est également une source. Dans ce sens, le couple d’inconfort, l’homosexualité latente n’est pas à écarter. L’identité sexuelle confuse, la névrose d’angoisse, croyance religieuse, l’éducation sexophobe, empêchent également d’éjaculer dans les temps. De même, il faut citer les traumatismes antérieurs qui ne sont pas traités, le conflit intrapsychique retarde aussi l’éjaculation. En dehors des causes psychogènes, il y a celles organiques qui ne sont rien d’autre que les neuropathies autonomes, les pathologies neurologiques dégénératives. Il y a aussi les causes iatrogènes qui sont les dommages enregistrés au niveau des causes précédentes.
Les éléments profonds liés aux causes psychiques
Les causes psychiques liées à cette anomalie du retard dans l’éjaculation sont d’origine profonde et sont très complexes. Il faut d’abord identifier le contrôle excessif de l’homme sur le plaisir au cours du rapport sexuel. Ce qui, naturellement, empêche le plaisir d’être partagé des deux côtés surtout du côté de l’homme. Il s’agit d’un surmoi qu’on peut qualifier même de très dur. L’autre cause de ce dysfonctionnement est bien le conflit observé au sein du lien. Ce conflit subit un transfert au niveau de la relation au niveau thalamus. Cette rigueur sur le flux érotique ainsi que la rigidité de l’homme n’avantagent pas la sexualité.